La campagne du "non" et son séguélisme révolutionnaire
Les partisans du "non" socialistes n'ont pas tort de dire que la campagne du "oui" socialiste n'est pas aussi euro-exigeante que promise. Du coup, le PS peut faire des économies car au lieu de se payer les services d'une boîte de conseil en stratégie, il peut écouter certains conseils des partisans du "non" ! Mais bon, c'est une utopie. (Oops j'ai dit un gros mot). Bon point pour le NPS dont la contribution au diagnostic est vraiment intéressante (c'est normal, Vincent Peillon est un des quatre ou cinq intellectuels du Parti socialiste). Quand à Nouveau monde, c'est la dérive des continents : Emmanuelli d'un côté, Méluch de l'autre, la troisième voix Vidalies... (je n'ose pas dire qui est à gauche ou à droite, sinon, je me fais tondre dans un couloir de la rue de Solférino)
Le coup de tête de Trézéguet
Timides protestations après les sifflets contre La Marseillaise lors du match en Israël à Tel Aviv. L'équipe israélienne a poussé les Français à la faute et, de mon point de vue, le pétage de plomb de Trézéguet était aussi inévitable que le dérapage d'avant match de Barthez était inacceptable.
Les portes du Paradis
Dans le match Vatican/Monaco pour le Paradis, le score à la mi-temps : Jean-Paul 2, Rainier 3
La mort en direct
Qu'y a-t-il de commun entre la principauté de Monaco, le Vatican et l'Union soviétique ? La nécrophilie gérontophile. Ces vieux qui se liquéfient en direct sous le regard voyeur des caméras... Il ne manque plus que le bruit et l'odeur. S'agissant du son, on l'a avec Jean-Paul II. Si les chaînes de télé pouvaient lui enfoncer un micro de profundis, ils l'eussent fait. Comme disait Jésus-Christ :"Laissez les morts enterrer leurs morts".
Le poisson d'avril de l'Huma
François Hollande a viré sa cuti. Il est pour le non. C'est du moins ce qu'annonce le quotidien communiste en expliquant que c'est un poisson d'avril. Le problème c'est que ces partisans du "non" n'ont pas attendu le 1er avril pour en faire des poissons de ce genre. Comme disait l'autre, "ce qui compte ce n'est pas que ce qu'on dit soit vrai, c'est que les gens le croient".
Les fabiusiens ont de l'humour
Si DSK est connu pour son humour, les fabiusiens (que les solférinologues de l'intérieur surnomment "les fabs" - ce qui permet aux petits malins de réhabiliter Patrick Juvet et son tube interplanétaire "Où sont les femmes") en ont presqu'autant, même si ça tranche avec le sérieux de leur président. Pour preuve, un truc paru dans Le Parisien de l'automne dernier. Bartolone en bon sicilien est un fin gourmet. D'ailleurs, il tient un resto dans Paris. Il fait découvrir un vin à son frère, un député du 93 et pour que l'intéressé apprécie le cru, il lui bande les yeux. Avis du goûteur, le vin a du caractère. Quel est ce vin ? Un vin des Pouilles qui s'appelle le fabius !
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